Bouillon d'Awara : GUYANE

Le bouillon d’awara est une sorte de pot-au-feu aux multiples ingrédients. On raconte que celui qui en mange le Lundi de Pâques ne quittera plus jamais la Guyane

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On épluche...


Il faut couper et éplucher les awaras, les passer dans une machine avec de l’eau chaude pour en extraire le jus.


On presse les awaras...


Il faut ensuite mettre le jus d’awaras dans une grande marmite sur un grand feu de bois et faire bouillir.


On obtient le jus...


Après, on incorpore les légumes coupés et épluchés en mélangeant avec une grande cuillère en bois pour ne pas que cela attache au fond de la marmite.


On ajoute les légumes et on mélange.


On laisse cuire pendant trois jours et le dernier jour, on ajoute les salaisons, les viandes et les crevettes. On y met le poisson boucané tout à la fin parce qu’il s’émiette rapidement.


Il ne reste plus qu’à servir...


Il ne reste plus qu’à servir avec du riz cuit à la vapeur et à se régaler !

Bon appétit les enfants ! ! !


et à passer à table !

bon appetit les chéris

pr les incultes enfin pr cx ki ne savent pas ce k'est l'AWARA voilà une tite histoire pr vs!!!


Parmi les nombreux palmiers de Guyane, il en est un qui est à la base de la gastronomie créole guyanaise.
Son fruit est en période pascale fort recherché.

L'Awara puisqu'il s'agit de lui, est un palmier originaire de la région orientale du bassin amazonien. Bardé de longues épines, poussant sur les sols de terre ferme et sableux, il est dans le département rencontré sur la bande côtière. Il peut atteindre 30 m. Fréquent dans les savanes. il a une excellente résistance aux feux de savanes qui à chaque saison sèche ravagent ces dernières.
Il fait partie de la famille des Astrocaryum. Son nom à lui est Astrocaryum vulgare. Il a comme proches parents le Counana et le Mourou-mourou. Palmiers tout aussi épineux.

Le stipe dont le diamètre varie de 25 à 40 cm porte de très longues épines. Fines et pointues elles ont pour fonction de protéger le végétal contre l'appétit des animaux végétariens : surtout dans les premières années de croissance. Les aiguillons peuvent parfois atteindre 40 cm de long. Cette véritable armure se retrouve aussi sur les feuilles.

Les fruits sont de forme globuleuse. L'épicarpe, la peau de celui-ci, est parfaitement lisse. Orange vif arrivé à maturité, il est doté d'une énorme graine, qui occupe 80 % de son volume. Divers animaux sauvages comme l'agouti, un rongeur et le téju, un lézard en sont très friands.

Il est de tradition, en Guyane, lorsque vient le temps Pascal de manger le "Bouillon Wara". Véritable ragoût fait à base de pulpe d'Awara. Outre l'intérêt alimentaire du fruit, il faut aussi savoir qu'une huile d'épaisse consistance est extraite de l'amande. Utilisée en pharmacopée traditionnelle pour soigner les furoncles, son efficacité est reconnue. A part l'utilisation alimentaire et médicinale de ce palmier, il n'est plus trop utilisé en Guyane. En revanche en Amazonie brésilienne et péruvienne l'on fabrique des filets de pêche, des hamacs et des sacs avec les fibres extraites des folioles, une partie de la feuille.


on dit merci GUYAKERA!

c super long à faire cette recette

g pa trouver de foto convenable sur le net!

jdois lavori en foto dc je v chercher ça pr toi!